En France, les livres de
John Irving se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires, toutes éditions confondues ! Avec son dernier roman ,
« Je te retrouverai » paru en librairie, c’est l’histoire la plus longue, et la plus bouleversante qu’il ait jamais écrite… Une saga d’amour et de souffrances qui lui a demandé sept ans de travail. Avec ce nouveau roman, John Irving nous livre le récit d’une quête tourmentée…
Un roman débordant de tendresse, de générosité, de profondeur : l’histoire du destin d’un gamin privé de père. L’histoire vous emmènera dans l’univers des tatoueurs, (pour John Irving, le tatouage est une marque de vie à jamais recouverte) et vous fera découvrir les ports de la mer du Nord, le monde de la lutte gréco-romaine et les coulisses d’Hollywood .
Une saga d’amour et de souffrances qui se dévore facilement et avec plaisir. Ce livre est un chef d’œuvre !
Agé de 64 ans, John Irving a été un lutteur de haut niveau, il en a d’ailleurs conservé des souvenirs physiques douloureux. Avec ce dernier roman, c’est maintenant la littérature qui le fait souffrir ! Son index droit est déformé par l’écriture de ce pavé de 850 pages écrit entièrement à la main une première fois à la première personne du singulier pour donner de la force à son histoire , et une seconde fois à la troisième personne pour s’en détacher le délivrant d’un pesant fardeau.
John Irving a découvert tardivement son père biologique. En travaillant sur ce livre il a fait connaissance d’un de ses demis-frères et de sa demi-sœur, il a alors appris que ce père qu’il a préféré fantasmer de peur de découvrir un sale type était un homme bien.
Sa biographie
John Irving est né le 2 mars 1942 en Nouvelle Angleterre. C’est sa grand-mère qui l’élève jusqu’à ses 7 ans. John Irving n’a jamais connu son père biologique et passe le début de son adolescence avec son père d’adoption qui enseigne le russe. Il fait des études médiocres à cause d’une dyslexie non diagnostiquée mais c’est un excellent lutteur et choisit son université en fonction des cours de sport ! Il s ‘intéresse à l’atelier de création littéraire et sa vocation d’écrivain s’affirme progressivement. Il obtiendra une bourse d’étude en 1963 et passera un an à Vienne , ville où il puisera la matière de son premier roman
« Liberté pour les ours ». Il pourra vivre de son écriture après la publication en 1978
« Du monde selon Garp » vendu à 850000 exemplaires !
Sa bibliographie
Liberté pour les ours (1968), L’épopée du buveur d’eau (1972), Un mariage poids moyen (1974), Le monde selon Garp (1978), L’hôtel New Hampshire (1981), L’œuvre de Dieu, la part du Diable (1985), Une prière pour Owen (1989), Les Rêves des autres (1993), L’enfant de la balle (1994), La petite amie imaginaire (1996), Une veuve de papier (1998), La quatrième main (2001), Mon cinéma (2003).
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