

Cela dit, la désormais blondinette est une rebelle dans l’âme et à l’âge de 14 ans, elle quitte l’école et se trouve un job, bien décidée à connaître l’indépendance avant l’heure.
A 16 ans, elle dit adieu à sa petite ville natale et met les voiles pour Londres, elle cumule deux boulots pour boucler les fins de mois, serveuse la journée, barmaid le soir. Deux ans plus tard, elle tape dans l’œil d’un photographe et intègre peu après une agence de mannequins, la voilà en selle, reste à voir ce qu’elle fera de ce premier pas.

Son teint diaphane, son sourire angélique et sa silhouette longiligne laissaient présager une beauté froide et classique mais la belle se refuse à entrer dans les rangs et joue le décalage, en backstage, on ne voit qu’elle, sur tapis rouge son look fait mouche et même lorsqu’elle sort son chien, Agyness est comment dire heu… atypique. Si bien que même entourée d’autres grandes bringues stars des podiums, Agyness Deyn est repérable et même attachante. Loin des clichés du modèle impeccable tiré à quatre épingles, la demoiselle fait des étincelles, rafraîchissante, tout sourire et colorée, si bien qu’on s’interroge, mais qui est donc cette grande blonde mi garçon-manqué mi-poupée ?

Depuis, tout va pour le mieux pour Agyness que l’on croise à tous les coins de rue : magazines, affiches publicitaires, presse people, pub télé,… On l’a récemment vue embrasser mutinement Jean Paul Gaultier en l’honneur du dernier parfum de la marque « Ma dame » tandis qu’elle coure les podiums et couvertures de Vogue du haut de ses gambettes interminables.

Mais Agyness Deyn ne consacre pas sa vie qu’à la mode, passionnée de musique, elle jouerait dans un groupe nommé « Lucky Knitwear » et semble scotchée à son boyfriend du moment, Albert Hammond Jr, guitariste du groupe rock The Strokes.
Enfin, pour la petite histoire, et les mauvaises langues en rient encore, la demoiselle se serait rajeunie de trois ans en mentant sur son âge, une supercherie finalement découverte qui lui aura valu quelques moqueries, à tout juste 26 ans, c’est quand même un comble !